Quand nos jeunes s’investissent dans les élections …

À seulement 21 ans, cet étudiant dans une école d’ingénieur de simulation mécanique vit à Bordeaux et milite au FNJ (Front national jeunes). Gonzague Malherbe portera les couleurs du parti aux élections cantonales de mars à Monségur.

Le Front national espère sans doute tirer un bon score sur un canton où l’UMP dans le cadre d’un accord départemental devrait finalement s’effacer devant un candidat du Modem, pour ferrailler sur les terres du tenant du titre le socialiste Bernard Dussaut. Le jeune frontiste sait qu’il ne joue pas une partie facile sur un territoire qu’il découvre, originaire de Paris ; son arrivée en Gironde il y a trois ans coïncide pratiquement avec son engagement en politique. Il admire la culture et le charisme de Bruno Gollnisch : « Disons que je suis plutôt d’accord avec la droite. À l’UMP, ils font de beaux discours mais, ils ne sont pas suivis d’actes. Rien n’est fait pour améliorer le pouvoir d’achat, ni le chômage. Quant au Parti socialiste, ils n’ont pas fondamentalement envie de redresser le pays et sont davantage préoccupés par des intérêts personnels. »

Préférence nationale
Bien sûr, Gonzague Malherbe s’inscrit dans les grandes lignes d’un parti qui accorde la préférence nationale : « Ce n’est pas pour attiser la haine de l’étranger. Dans une situation qui conduit notre pays à la ruine, commençons par nous reconstruire nous-même, avant de prétendre vouloir aider les autres. »

Et sur une élection locale destinée au Conseil général, le candidat entend décliner sa vision d’une ligne du programme national : « Il y a un gaspillage énorme en matière de dépense publique. Il faut tout faire pour réduire ces charges, dont on ne nous donne ni le détail, ni l’explication. Moi, je m’intéresse davantage à la défense de nos emplois, de nos retraites et de l’agriculture française. »

Quant à la réforme territoriale : « C’est une arnaque électorale de notre gouvernement. Comme avec la proportionnelle et malgré les bons scores que nous avons enregistrés aux régionales, tout est fait pour faire disparaître le Front national à l’échelon local. »

Sud Ouest

En ces jours de fin de campagne…

En ces jours de fin de campagne, et malgré l’intox de certaines personnes mal intentionnées, il semble aujourd’hui bien difficile pour quiconque de prédire les résultats du vote qui désignera le successeur de Jean-Marie le Pen à la présidence du Front National. Quelle que soit l’issue de ce scrutin qui, dans chaque cas verra se hisser à la tête du mouvement un président de qualité, je tiens aujourd’hui à dresser un bilan personnel de ces derniers mois, lesquels nous ont permis de voir se distinguer deux branches d’une même famille frontiste. En effet, mon propos ne portera pas sur les moyens de campagne mis en place par les proches de Marine le Pen –ils ont leurs mérites : je dépeindrai ici l’expérience exceptionnelle qu’il m’a été donné de vivre au sein de la structure des Jeunes avec Gollnisch.

Lorsque nous avons entamé une réflexion sur les moyens de donner la parole aux jeunes durant cette campagne -eux trop souvent oubliés alors qu’ils représentent la force vive et l’avenir du mouvement- nous ne pouvions nous douter de l’ampleur qu’allait prendre le mouvement qui deviendrait quelques semaines plus tard : « les Jeunes avec Gollnisch ». En effet, très vite la grande majorité du FNJ au niveau national, et la quasi totalité des jeunes des Pays de la Loire pour ne parler que de ma région, rejoignirent notre structure et se rassemblèrent régulièrement et en nombre dans toute la France afin de soutenir la candidature de Bruno Gollnisch.

Plus encore que la masse impressionnante de militants nous ayant rejoint, et reconnaissant en Bruno Gollnisch le chef naturel du mouvement national, ce qui m’a particulièrement marqué durant cette campagne au sein des JAG a été l’esprit régnant au sein du mouvement. En effet, militant frontiste depuis 9 ans, j’ai évolué pendant assez longtemps dans un FNJ totalement différent de celui que nous pouvons connaître aujourd’hui : un FNJ de terrain et non de salon ; un FNJ caractérisé par une cohésion de tous les instants et non un FNJ divisé par les disputes claniques ; un FNJ dirigé à tous les échelons par des hommes compétents, faisant preuve d’un idéal sans faille et prêts à se sacrifier à tout instant pour chacun de leurs militants, non un FNJ carriériste, confisqué, privilégiant aux responsables d’expérience, enracinés, des jeunes souvent parachutés, politiquement corrects, sans expérience aucune et mettant leur section en danger politiquement et physiquement.

Grâce aux jeunes avec Gollnisch, et après une université d’été nationale FNJ regroupant une trentaine de militants sur fond de polémique, j’ai pu suivre un week-end régional des JAG regroupant une quarantaine de militants de l’Ouest et comportant les éléments qui de tous temps ont traduit et renforcé l’idéal de nos jeunes, mais qui depuis trop longtemps avaient été écartés du programme officiel : veillée, levée des couleurs, messe dominicale, activités de cohésion…

C’est pourquoi je tiens aujourd’hui à remercier Edouard, ainsi que tous les jeunes qui nous ont rejoint au cours cette formidable aventure, pour ces moments forts de militantisme et de cohésion qui m’ont rappelé qu’aujourd’hui encore la flamme tricolore embrasait les âmes, et que grâce à des hommes de rassemblement et de valeurs tels que Bruno Gollnisch, elle brûlera plus fort que jamais dans le cœur de chaque français opprimé et bafoué par le mondialisme et l’immigration incontrôlée, facteurs de destruction de nos identités et de nos valeurs millénaires de civilisation.

François-Xavier Gicquel, responsable JAG des Pays de la Loire

Deux poids, deux mesures

Communiqué de presse d’Amaury Navarranne

Le secrétaire départemental du FNJ des Alpes-Maritimes vient d’être « débarqué » des fonctions qui étaient les siennes.

Il lui est reproché un commentaire politique critique, effectué sur sa page facebook, à propos d’un jugement politique prononcé par un soutien de Marine Le Pen lors d’un passage médiatique de la candidate.

Certains peuvent estimer maladroit le propos de notre camarade du FNJ, éventuellement ne pas le cautionner, mais une nouvelle fois la disproportion entre le fait reproché et la sanction prononcée « étonne ».

D’autant plus quand on constate dans le même temps qu’un cadre de la fédération de La Marne, soutien de Marine, peut déverser en toute tranquillité, sur le site officiel de sa section FN, et relayé par d’autres sites ou d’autres soutiens de Marine par courriels ou via leurs « réseaux sociaux », des propos violemment diffamatoires et d’ordre privés, à l’encontre d’un élu du Front, qui a certes le grand tort d’apporter son soutien à Bruno Gollnisch…

Vous avez dit deux poids, deux mesures ?

« Bruno Gollnisch nous représente, nous les jeunes »

J’ai longtemps hésité avant de m’engager en faveur de Bruno Gollnisch dans cette campagne de succession à la présidence du Front National. En effet, même si mon coeur me dictait de me ranger du côté du candidat appuyant son projet politique sur une fidélité sans faille à la doctrine du mouvement et aux valeurs qui ont fait la France, j’étais toujours ancré dans la « mode marine ».

Lorsque j’ai commencé à réfléchir sérieusement aux qualités et aux défauts de chacun, mes hésitations et mes doutes ont tout naturellement laissé place à une ferveur sans faille en faveur du seul candidat qui selon moi est capable de rassembler tous les courants de la droite nationale, raison d’être du Front National, ne l’oublions pas, et de « dé-diaboliser » sans revenir sur aucun fondamental ni faire aucune concession.

Chaque jour en lisant la presse, en écoutant la radio et en regardant la télévision, je me conforte dans mon choix en reconnaissant Bruno Gollnisch comme le leader nous représentant, nous les jeunes.
Candidat droit et dynamique, il sera un président pugnace et expérimenté, charismatique et cultivé au service de notre idéal et de notre espérance en un avenir meilleur pour notre pays.

François-Xavier Gicquel
Secrétaire départemental FNJ 85

Retour sur le week-end de lancement de la campagne des JAG, par le responsable JAG des Pays de la Loire

(Cliquez sur les photos pour les agrandir)

Etant actuellement à l’étranger, je n’ai pas eu le plaisir de pouvoir participer au week-end des Jeunes avec Gollnisch Grand Ouest organisé la semaine dernière en Mayenne.

Ce rassemblement, réunissant une soixantaine de jeunes autour de Bruno Gollnisch et de responsables du Front National des Pays de la Loire, a été avant tout une chance de forger la cohésion des jeunes frontistes soutenant le candidat qui, selon eux, est seul capable de rassembler la droite nationale autour d’une doctrine solide pour aller au feu en 2012.

Ensuite, ce week end a été l’occasion pour Bruno Gollnisch de rencontrer les jeunes des différentes sections FNJ de l’Ouest, ayant en très grande majorité ralliés sa bannière, et de recevoir leur soutien indéfectible.

Enfin, cet événement, par effet de ricochet a permis de démontrer que toutes les allégations de nos détracteurs n’étaient que purs délires à dessein de nous discréditer. En effet, loin de l’image de cathos/tradis/sectaires que certains articles ou commentaires, lus sur un fameux site de désinformation partisane, ont pu laisser filtrer; les jeunes présents, plus nombreux que l’effectif ayant pointé à l’UDT, représentaient un large panel de confessions religieuses, de milieux sociaux et d’origines politiques, tous reconnaissant Bruno Gollnisch comme leader historique, naturel et inconditionnel du mouvement national.

En effet, loin de coller à l’étiquette de groupuscule sectaire et réactionnaire qui nous avait été attribuée, nous avons su montrer que même si le groupe facebook des « jeunes avec marine » nous dépasse sur le net en nombre de membres (moyenne d’âge : 40 ans…), sur le terrain, le FNJ soutient en très grande majorité Bruno Gollnisch. Si certains anciens, après tant de batailles ayant tournées à leur désavantage ont fait le choix de la facilité en optant pour la dédiabolisation express avec Marine, nous, jeunes nationaux, n’avons pas peur des défis, et par notre fougue, notre audace et notre idéalisme, nous refusons tout compromis, tout renoncement. Alain Soral lui même, ancien maître à penser de David Rachline, déclarait il y a peu : « dédiaboliser ça ne veut pas dire tomber dans le politiquement correct, ça ne veut pas dire lâcher sur certains fondamentaux; plaire aux français, ça ne veut pas dire plaire aux journalistes: on sait bien que c’est souvent le contraire”. On comprend maintenant pourquoi les marinistes s’en sont détachés bien rapidement il fût un temps…

Ainsi aujourd’hui, cette jeunesse demande à se faire entendre et clame son droit à un président la représentant, elle, l’avenir du mouvement. Un président droit et dynamique, pugnace et expérimenté, charismatique et cultivé : Bruno Gollnisch !

Un jour, le Général Mc Arthur écrivit : “On ne devient pas vieux parce qu’on a vécu un certain nombre d’années, on devient vieux parce que l’on a renoncé à son idéal. Les années rident la peau, renoncer à son idéal ride l’âme”.

A bon entendeur …

François-Xavier,

Responsable régional JAG des Pays de la Loire.